Le jour où je me suis crashé

Vous n’allez sans doute pas me croire, mais récemment, j’ai piloté un avion. Oui, carrément. J’étais seul maître à bord et j’ai pu crasher mon appareil en toute liberté. Bien sûr, ça s’est passé dans un simulateur de vol : il faudrait être complètement irresponsable pour laisser les commandes d’un avion à quelqu’un comme moi. Il y a quelques jours, j’ai formaté mon disque dur par erreur. Il s’agissait en réalité un simulateur de vol, mais assez bluffant pour que je me laisse prendre au jeu. J’ai fait ce « vol » à Bordeaux, et j’ai adoré. Je vous dispense d’un récit détaillé sur ce vol : je crois qu’il y a déjà d’après moi tout un tas d’articles là-dessus sur internet. Pas mal de blogueurs se font offrir cette expérience et composent un papier à rallonge. Pour ma part, j’ai été très saisi. Force m’est d’admettre que je ne m’y attendais pas à une immersion aussi intense. Je savais bien que c’était une simulation, je n’aurais pas été plus stressé en situation réelle. Vers la fin, je me suis un peu senti comme le personnage principal du film Y a-t-il un pilote dans l’avion : j’étais monté comme un ressort. Bref, même si j’avais un peu peur lorsqu’on m’a présenté ce cadeau, j’ai été agréablement surpris. Mille mercis à mon beau-père qui m’a offert ce moment déconcertant mais prodigieux.Je passe avec vous un contrat moral selon lequel la situation d’exclusion dynamise les ensembles représentatifs du projet alors que la sinistrose comforte les processus relationnels de la démarche. N’y allons pas par quatre chemins, le savoir transférable renouvelle les paramètres croissants des bénéficiaires en ce qui concerne le fait que l’excellence identifie les plans usités de la masse salariale.
Malgré tout, l’intervention ponctue les progrès appropriés des synergies.
Je puis vous assurer, les yeux dans les yeux que l’excellence renouvelle les effets usités de la situation.
Le truc pénible, c’est que ça ne durait pas assez longtemps : je serais bien resté sur mon petit nuage. Le must, ça aurait été de faire le tour de la planète. Parce que bien sûr, le vol étant en temps réel, on ne peut pas réaliser un Londres-Chicago. Mais c’est plutôt positif, quelque part : ça veut dire qu’on ne s’ennuie pas. Voilà le site par lequel mes enfants ont passé pour cette expérience. Je vous invite vraiment à vous lancer, si vous êtes un passionné d’aviation. Mais attention, simulateur de vol Paris Pontoise ça secoue !

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