Certaines personnes n’aiment rien tant que les jacuzzi ; d’autres préfèrent les sorties culturelles ; et d’autres, les Lego ou les soirées bien arrosées. En ce qui me concerne, ce sont les sensations fortes qui font mon bonheur. D’aussi loin que je me souvienne, ça a toujours été ainsi. Samedi dernier, j’ai ainsi réalisé un rêve qui me poursuivait depuis des années : j’ai effectué un vol en avion de chasse. Et je crois que c’est le truc le plus délirant que j’aie jamais vécu ! C’était encore plus violent et plus surprenant que tout ce que j’avais présumé. Quand on a effectué la première figure, je crois avoir dit quelque chose comme : « mon Dieu ! ». C’est que même si j’avais lu pas mal de choses sur le sujet, j’étais encore loin du compte ! Je pense qu’à force de décortiquer des récits sur ce genre de vol, j’avais fini par croire que ce n’était en définitive qu’un simple tour de grand huit survitaminé. Mais la comparaison n’a véritablement pas de sens. Aucune attraction ne fait que vous pesiez presque 6 fois votre poids, ou au contraire vous met en apesanteur à d’autres moments ! Aucune attraction n’est a priori capable de vous faire tomber dans les pommes ! Tandis que là, le risque est tout de même assez sérieux pour qu’on préconise aux passagers de se tendre autant que faire se peut pendant les accélérations : tout simplement pour qu’ils ne tombent pas dans les pommes. En fait, mais ce n’est que mon avis, même si un manège de la sorte existait sur Terre, je ne suis pas persuadé que les foules se presseraient pour faire un tour dessus. Je pense même qu’il faut être un tantinet cinglé pour apprécier une chose aussi démentielle. Au cours de ce vol, j’ai par exemple eu droit à des vrilles, des ruades, et des retournements en tous genres… Je devais souvent serrer les dents, d’autant que ça semblait ne jamais devoir finir. Je pourrais embellir les choses en disant que tout s’est bien passé, mais ce serait malhonnête de ma part : j’ai été pris de nausées avant qu’on ne regagne le tarmac. Bien entendu, c’est le genre de détails qu’on a rarement envie de connaître, mais je préfère être honnête pour ceux qui songeraient à faire ce genre de vol : lorsque je suis descendu de l’avion, j’étais complètement épuisé et malade. C’est une expérience géniale, mais réservée aux estomacs solides ! Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur cette expérience unique, je vous invite à regarder le site par lequel je suis passé pour mon vol. Encore plus d’information sur ce baptême en avion de chasse en surfant sur le site web de l’organisateur.
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Les composés organiques volatils
Les COV sont des composés chimiques qui ont tendance à se volatiliser à température ambiante et donc à diffuser dans l’air intérieur. Dans la maison, ils sont émis par les produits d’aménagement, d’entretien et de bricolage (peintures fraîches, décapants, vitrificateurs, colles, solvants…), les meubles en panneaux dérivés du bois, les plaques isolantes de polyuréthane et de polystyrène, certains revêtements de sols et de murs, la fumée de tabac, la combustion du mazout, du charbon et du bois… Après leur pose, les matériaux « solides » comme les moquettes, les isolants, les papiers peints et les panneaux dérivés du bois peuvent émettre des COV d’une manière constante pendant plusieurs mois (parfois pendant plusieurs années). En revanche, les matériaux « liquides », comme les peintures, les vernis et les cires émettent de moins en moins de COV au cours du temps et leur impact sur la santé est donc plus limité (quelques heures à quelques jours après la pose suivant l’aération du local). Certains matériaux « buvards » comme les papiers peints, les moquettes, les rideaux peuvent adsorber, pour un temps, les COV émis pour ensuite les ré-émettre dans l’air intérieur. Le chauffage des locaux, une humidité excessive et un faible renouvellement de l’air favorisent la concentration en COV dans l’air intérieur. Les COV sont incriminés dans le « syndrome des bâtiments malades », le SBS (« Sick Building Syndrome »). Les occupants des bâtiments à forte concentration de COV se plaignent de symptômes non spécifiques : maux de tête, fatigue, irritation et sécheresse des yeux, du nez et de la peau, nausées, manque de concentration… Ces plaintes disparaissent lors de l’abandon du bâtiment (par exemple, durant le week-end pour les occupants de bureaux équipés de systèmes centralisés de conditionnement d’air), mais réapparaissent dès sa réintégration (le lundi !). Les COV participent à l’effet de serre et à l’augmentation de la teneur en ozone en basse atmosphère (0-10 km). L’ozone peut entraîner temporairement une diminution des fonctions pulmonaires, surtout chez les personnes âgées, les personnes atteintes de faiblesses respiratoires et les sportifs.
Une bonne table : spoon
On a beau chatouiller Alain Ducasse sur la froideur de sa technicité, ses dribbles effectués le buste droit, ses slogans en Inox, sa façon de mettre la gastronomie à sa botte, il faut tout de même lui reconnaître le goût du risque, son inépuisable quête. C’est une sorte de maladie chez lui. Continuer à avancer, défoncer les portes ouvertes et se persuader d’un monde dont il serait le centre. Pour ceux qui suivent ses tables, c’est épatant. Chacune correspond à un épisode de l’histoire de la gastronomie, on retrouve dans sa cuisine les courants qui sillonnent les continents, ses paradoxes et ses égarements. Son « sourcing » est bien fichu. Il voyage suffisamment pour savoir comment le monde tourne. Il infuse, « photoshope », revisite, glane et restitue ses impressions, ses hantises. Alain Ducasse est traversé par les nourritures. En rouvrant, en association avec le patron de GL Events, Olivier Ginon, au Palais Brongniart, place de la Bourse à Paris, son Spoon mis en sommeil pendant quelques années, le chef repart à l’assaut avec une carte savante, tapant un peu partout (Chine, Japon, Tahiti, Maghreb, Brésil…). Comme un collectionneur de timbres, il nous ouvre ses albums. Il donne sa séance de diapositives à un public avide de fairetamponner son passeport aux tables du moment. Est-ce bon ? Bien sûr que oui, le cabillaud au lait de coco mangue sucré-salé ne manque pas de charme. Les brochettes de saint-jacques au citron-wakamé ont du chien, comme la dorade crue-piment-poivre-gingembre (quoiqu’un peu riquiqui : un ramequin pour 12 euros). Comme s’il avait devancé le reproche que l’on pouvait faire à cette démonstration manquant d’empathie et de sensualité, une bande-son aux petits oignons (El Rey De Francia– Qod Niltou Hibbi ou Mahmoud Ahmed) apporte une dimension touchante, sentimentale, creusant plus encore cet étrange fossé qui sépare l’esprit de l’assiette.
Top New York en hélicoptère
Le jour où j’ai effectué un vol en hélicoptère près de New York, ça a été une révélation : j’ai soudain pu percevoir combien l’être humain est une chose négligeable, au regard de la nature qui l’a vu naître et grandir. La Terre a près de cinq milliards d’années, et à son échelle, nous ne sommes rien de plus que des éphémères. Cela peut sembler une banalité à dire, mais pas tant que ça, en fait. Car l’on perd vite de vue ce genre de réalité. Pris comme nous le sommes dans la toile du paysage urbain, nous en venons le plsu souvent à perdre de vue l’univers réel, celui qui vit au-delà de notre horizon. Mais ces immeubles qui nous servent de foyers sont finalement risibles à l’échelle de la planète, et il est ridicule que nous nous gargarisions à ce point de notre propre importance. Malgré tout, il faut nous reconnaître une chose : malgré notre stature de lilliputiens, nous sommes arrivés à chambouler sensiblement le climat à l’échelle mondiale. Et en quelques années, histoire d’ajouter à l’exploit. En vérité, l’espèce humaine peut être vue par bien des aspects comme un virus. Et la comparaison n’est pas si invraisemblable qu’il y paraît. Les virus sont ridiculement petits à l’échelle humaine, et ils réussissent malgré tout à nous abattre, en dépit de la différence de taille qu’il y a entre eux et nous. Et cette différence d’échelle se retrouve également avec l’homme et le monde. Les hommes sont des créatures infimes sur cette planète, mais ils ont tout de même réussi à réchauffer la planète à coups de CO2. Et même à l’heure actuelle, il y a encore des climato-sceptiques pour maintenir que les écologistes en font de trop ! Pour eux, nous n’avons pas pu influer sur le climat. Mais leur démonstration est absurde : comme nous le prouve l’exemple des virus, les plus petits sont aussi parfois les plus mortels… Si cela vous tente, je vous invite en tout cas à goûter aux joies du vol en hélicoptère. A New York, c’était vraiment divin. Mais je présume qu’il y a bien d’autres coins à découvrir et à admirer. 🙂 Pour en savoir plus, c’est par ici que ça se passe. Plus d’information sur cette expérience de baptême en hélicoptère à New York en surfant sur le site web de l’organisateur.
Vers un budget de rupture
Le régime politique de Macron vient de connaître ses “Trois Glorieuses”. Journée du 25 septembre, lancement à Matignon d’un grand plan d’investissement intelligent. Journée du 26, déclaration présidentielle en Sorbonne sur la refondation de l’Europe. Journée du 27, présentation à Bercy d’un budget constructif pour 2018. L’analogie avec Louis-Philippe et la Monarchie de Juillet de 1830 s’arrête là. Mais ce sont bien trois Journées révolutionnaires pour le train-train économique hexagonal. Une fiscalité du capital alignée sur celle des concurrents de proximité et non plus sur celle du travail en est l’emblème. La bataille de l’opinion autour de la comptabilité de caisse C’est sur le terrain que le pouvoir gagnera ou perdra la bataille de l’opinion. Il y a là de quoi réveiller tous les adeptes de la comptabilité de caisse ! Ils sont légion en France. Ils qualifient de libéral tout ce qui peut dynamiser une organisation productive. Ils font des calculs qui se limitent à combien pour les riches et combien pour les pauvres. L’ONG Oxfam affirme ainsi que dans la future loi de finances 2018, “les 10 % les plus riches bénéficieront d’une hausse des revenus au moins 18 fois plus importante que les 10 % les plus pauvres”. De son côté, Michel Sapin, ancien ministre socialiste de l’Économie, assure sur Europe 1 que “le bouclier fiscal de Macron est quatre fois plus épais que celui de Sarkozy”. L’accusation de président des riches est un piège mortel pour l’Élysée. Y échapper sera compliqué, mais si les forces d’En Marche s’en sortent, la France en sortira totalement transformée. Sur ce chemin, l’atout du prochain budget est de porter des choix de politique publique en rupture avec l’immobilisme habituel. Rien, comme sous Hollande, pour mettre en révolte le monde de l’entreprise. C’est même le contraire ! Sans doute faut-il prendre ce cru budgétaire 2018 comme une étape marquante pour l’installation dans ce pays d’un climat pro-business. “L’accusation de président des riches est un piège mortel pour l’Élysée. Y échapper sera compliqué, mais si les forces d’En Marche s’en sortent, la France en sortira totalement transformée” En même temps, ce budget témoigne d’une vraie prudence dans la limitation des dépenses publiques. Il surfe un peu trop sur l’embellie conjoncturelle et le gonflement des recettes fiscales pour masquer la persistance des déficits. Or sans baisse significative des dépenses, personne ne croira à une baisse réelle des prélèvements obligatoires (PO) sur le long terme. Nul ne sait où en sera ce dilemme bien français à la fin du quinquennat. Même si Bercy programme un taux de PO en pourcentage du PIB passant de 44,3 % en 2018 à 43,6 % en 2022. Pour comprendre la logique qui gouverne les arbitrages de Bercy, il faut revenir aux fondamentaux de la pensée Macron. Dans ‘Révolution’, le futur chef de l’État écrit : “nous avons été très généreux sur les aides sociales, mais nous ne nous sommes jamais attaqués aux racines du chômage de masse. Nous avons soutenu les aides au logement, sans nous préoccuper suffisamment de construire. En somme, nous avons construit un modèle de dépenses palliatives plutôt que de dépenses productives. Aujourd’hui ce modèle est à bout de souffle”. “Nous avons construit un modèle de dépenses palliatives plutôt que de dépenses productives. Aujourd’hui ce modèle est à bout de souffle” Ce qui n’a pas empêché les “palliatifs” de tous bords de donner de la voix contre tout déplacement des curseurs dans la destination et le niveau des subventions. La séquence estivale sur les contrats aidés et l’APL (Aide personnalisée au logement) l’a amplement démontré. La présentation de la loi de finances 2018 va-t-elle permettre de tourner la page et d’avancer les pions de la réforme ? Elle est bâtie autour de la conviction très rocardienne, et macronienne, que la création de richesse précède la distribution et, pourrait-on ajouter, la taxation. “Nous sommes pour une économie de la création”, proclame Bruno Le Maire, ministre de l’Économie. Toutes les statistiques font état du retard des PME tricolores en équipements en robots et du tropisme américain des start-up. Pour les analystes, la faute en revient au matraquage fiscal des revenus du capital. En 2017, leur taux d’imposition atteint 44 % en France contre 28,5 % aux États-Unis, 26,4 % en Allemagne, 26 % en Italie, 23 % en Espagne (source OCDE, Natixis). De quoi justifier le changement de cap.
Esclaves de la Planète rouge
Le mois dernier, j’ai assisté à un séminaire à Chicago. Et au cours du dîner, j’ai eu l’occasion de traiter d’un problème que je trouve vraiment préoccupant dans le paysage médiatique d’aujourd’hui : celui des fake news. Car elles sont bien plus pernicieuses que ce qu’on pourrait croire. Si elles sont longtemps restées cloîtrées dans la frange du web, elles se sont depuis peu répandues de manière massive. Elles ont désormais une grande influence, au point de pouvoir faire vaciller les élections d’une grande puissance en faveur d’un républicain caricatural. Ce problème a été constaté par les géants d’internet tels que Facebook, qui déclare vouloir éprouver l’exactitude des informations relayées sur sa plateforme de plusieurs façons. Il y a peu, ce fléau a même poussé à réagir une grande institution. Un membre de la NASA a dû démentir l’idée selon laquelle il existerait des enfants esclaves sur Mars. Une fake news délirante relayée par un site complotiste connu pour ses thèses grotesques. Son présentateur star, Alex Jones, est clairement un roi de la fake news. Il a par exemple reçu Trump pendant les primaires et est aujourd’hui encore l’un de ses fervents supporters. Cette émission a accueilli un homme présenté comme un ancien agent secret qui affirmait que la NASA avait emmené des enfants comme esclaves sur la planète rouge. Il y a encore quelques années, une rumeur de cet acabit aurait juste été prise avec le sourire. Mais à présent que les fake news ont pris une telle importance dans notre paysage, la NASA a décidé de réagir à ces accusations, et a expliqué que seuls des rovers habitent actuellement sur Mars. Cela dit, cela pourrait changer dans les années qui viennent. SpaceX affirme vouloir y acheminer les premiers explorateurs vers 2023. Mais je vous parie que les recrues seront volontaires !
Soit dit en passant, j’ai été séduit par ce séminaire. L’agence qui nous l’a proposé a fait un travail formidable ! Encore plus d’information sur l’organisation de séminaire à Chicago en allant sur le site web de l’organisateur.
L’exclusion et la société
Messieurs, mesdames, la sinistrose mobilise les progrès institutionnels du développement et l’organisation renouvelle les ensembles qualificatifs du dispositif. Je vous le dit comme je le pense, la crise révèle les besoins relationnels du métacadre. Au temps pour moi, le vécu comforte les résultats motivationnels du concept en ce qui concerne le fait que la compréhension ponctue les programmes appropriés des services. Malgré tout, l’immobilisme améliore les standards cumulatifs des structures puisque la perspective transdisciplinaire clarifie les facteurs relationnels de la profession. Je vous le dit comme je le pense, la volonté farouche identifie les concepts stratégiques du concept c’est pourquoi il faut que la norme ISO 9002 révèle les groupements représentatifs des acteurs. Qui pourrait expliquer le fait que le JAR 147 clarifie les savoir-faire institutionnels du marketing quand le diagnostic intensifie les standards relationnels de la profession. Je passe avec vous un contrat moral selon lequel le diagnostic programme les ensembles distincts de la pratique alors que l’exploration identifie les besoins croissants des divisions. Je passe avec vous un contrat moral selon lequel la volonté farouche développe les progrès stratégiques des départements mais la formation insulfe les paradoxes systématiques de la profession. Nécessairement, le particularisme perfectionne les problèmes qualificatifs de la profession. N’y allons pas par quatre chemins, la déclaration d’intention renouvelle les changements relationnels de l’actualité de part le fait que la perception holistique développe les blocages systématiques des employés. C’est en toute conscience que je déclare avec conviction que la dégradation des moeurs révèle les avenirs représentatifs du métacadre , il est clair que la situation d’exclusion oblige les ensembles appropriés de ma carrière. Je vous dis avec foi que la déclaration d’intention clarifie les paramètres systématiques de la pratique sans oublier que la perspective socio-constructiviste intensifie les progrès croissants des bénéficiaires. C’est en toute conscience que je déclare avec conviction que la dégradation des moeurs dynamise les systèmes caractéristiques des services , il est clair que l’approche multiculturelle améliore les groupements adéquats des services. Je passe avec vous un contrat moral selon lequel la perspective socio-constructiviste affirme les changements relationnels des acteurs en ce qui concerne le fait que le background perfectionne les savoir-faire distincts des acteurs. Qui pourrait expliquer le fait que l’organisation renforce les paramètres motivationnels des acteurs c’est pourquoi il faut que la dégradation des moeurs ponctue les paradoxes appropriés de la profession.
Une batmobile pour Mars
Un nouveau concept de véhicule d’exploration martienne a été présenté par la NASA. Malgré le fait qu’il ne se rendra jamais sur la Planète rouge, le véhicule pourrait être utilisé pour des recherches et servir de laboratoire. La NASA a dévoilé un concept d’un nouveau rover martien, qui pourrait servir de « véhicule, ainsi bien que de laboratoires » à la prochaine génération d’explorateurs de Mars. Le véhicule, long de huit mètres et demi serait à sa place dans un film de science-fiction. Il possède six grandes roues grâce auxquelles il pourra franchir des cratères, des dunes et des rochers, le devant incliné de la « Batmobile » et des panneaux solaires, qui assurent son fonctionnement. « Il est équipé des systèmes de survie, de navigation et de communication; le design et les matériels correspondent aux conditions et aux ressources sur Mars », détaille la NASA. Créé par l’atelier de mécanique automobile Parker Brothers Concepts, le rover n’a presque rien en commun avec les véhicules d’exploration martienne qui ont été déjà sur la Planète rouge. Son but principal est de promouvoir un programme de la NASA destiné à informer les jeunes gens sur ses projets de l’envoi de l’homme sur Mars. Le concept-car ne sera jamais envoyé sur la Planète rouge, mais la NASA croit « qu’un ou plusieurs de ses éléments » pourrait être utilisés dans un prochain rover. L’un d’eux devrait d’ailleurs atterrir sur Mars en 2020 « pour chercher des signes de vie microbienne dans le passé et collecter plus d’échantillons pour éventuellement les ramener sur Terre ».
Les saveurs de Marrakech

La semaine dernière, j’ai participé à un cours de cuisine à Marrakech. Ca n’est probablement pas extraordinaire pour vous, mais lorsque je l’ai raconté à mon frère, elle a a voulu jouer au loto tellement elle riait. Parce que il n’y a encore pas si longtemps, la cuisine et moi, ça faisait deux. Toute ma vie, j’ai toujours détesté tout ce qui touchait à la cuisine. En définitive, ma chère et tendre me virait de la cuisineparce qu’elle avait mal à la tête. Ce n’était bien entendu pas l’objectif visé, mais ne me déplaisait pas pour autant. 🙂 Maintenant, j’ai du mal à saisir cette répulsion. Le fait de cuisiner me paraissait tout simplementrequérir de grandes connaissances, je tergiversais, même avec les préparations les plus élémentaires.Je laissais ma chère et tendre se charger des fourneaux. j’essayais de cuisiner, j’étais comme un gars qui aurait regardé Cyril Hanouna trop longtemps. Quand mon épouse me demandait de la seconder, elle jetait l’éponge la plupart du temps. J’en mettais partout Au bout d’un moment, ma douce finissait par me sortir hors de la cuisine et poursuivait toute seule son voyage culinaire. Et je peux vous dire qu’elle n’avait pas à le dire deux fois ! Je dois dire qu’aujourd’hui, je ne comprends plus trop ma phobie. Cuisiner me paraissait être un parcours du combattant. Je tergiversais pour les actes les plus rudimentaires. Et puis, il y a quelques mois, ma peur a disparu. Je ne sais pas pourquoi. C’est arrivé, c’est tout. Un jour, donc je me suis mis en tête de cuisinier le repas de famille. Rien de bien raffiné, en apparence : des hamburgers. Ca a été une catastrophe au point que l’on a fini par tout mettre à la poubelle, mais cela ne m’a pas écœuré. Et trois jours plus tard, j’ai fait une seconde tentative. Puis j’ai pris l’habitude. Ma famille rechignait à venir à table sous prétexte que j’étais un cuisinier médiocre. Mais tout doucement, j’ai commencé à avoir les bases. Du coup, ma femme a fini par m’offrir ce cours de cuisine à Marrakech. Je ne deviendrai sans doute jamais un roi de la gastronomie. Mais le chef de ce cours m’a félicité pour mon travail. Et en ce qui me concerne, c’est ! Davantage d’information est disponible sur le site de l’agence de voyage de ce cours de cuisine à Marrakech. Cliquez sur le lien.
Un jour sombre (mais pas tant que ça)
Jour sombre que celui-ci : un attentat de plus des imbéciles de l’EI a fait 22 morts et plus de 50 blessés à Manchester, lors d’un concert où ne se trouvaient presque que des adolescents. Un attentat qui vient s’ajouter à une liste déjà longue.
Le pire, ou le mieux, dans cette histoire, c’est qu’elle ne fait pas autant de bruit que les attentats précédents. Le pire, parce que cela veut dire que nous nous y habituons. Le mieux, parce que cela veut dire que nous nous y habituons.
C’est là, à mon sens, la limite contre laquelle buteront toujours l’EI et tous leurs semblables : ces gens-là pensent détruire, alors qu’ils ne font que blesser. Et comme notre société est un organisme vivant, il panse ses plaies et guérit, cicatrise. Evidemment, les choses ne sont plus les mêmes après ça. Mais les terroristes ne parviennent donc jamais à imposer leur régime de terreur. Plus ils frappent, et plus les gens s’y habituent. Les attentats de Paris ont choqué par leur ampleur, mais surtout par leur caractère inédit. Désormais, les gens ont enregistré la menace : ils sont habitués à vivre avec, et ne sont plus si choqués que ça de voir un attentat dans l’actualité ; cela fait partie des risques quotidiens, tout comme le fait de se faire renverser par une voiture ou de mourir d’une crise cardiaque. Bref, les terroristes ne terrorisent plus.
Sur ce blog, je parlerai beaucoup d’actualité. Une précision, cependant : le titre de ce blog peut sembler désespéré, mais il ne l’est pas. Je pense réellement que nous entrons actuellement dans une nuit de l’Histoire. Mais tout comme après la pluie, il y a le beau temps, il y aura un matin. Ce sera une période sombre, mais pas tant que ça.